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Amitié Virtuelle...
Ingrédients :
* 1 inconnu(e)
* un peu de politesse
* 1 gros soupçon d'honnêteté
* 1 énorme pincée de sincérité
* 1 filet de franchise
* Quelques bisous
* Beaucoup de fidélité
Résultats :
L'amitié d'un jour,
Dure pour toujours.
C'est une chose naturelle,
Quand elle est virtuelle.
Donner sans attendre en retour,
Ce petit bonheur chaque jour.
On se lie, on s'uni,
Et l'harmonie se garde à vie.
On se remonte le moral,
Quand tout va mal.
On ne se fait jamais de peine,
Car on ne connaît pas la haine.
Les kilomètres nous séparent,
Mais ce n'est pas une tare.
La toile nous rapproche,
Et avec elle on s'accroche.
Entre nous aucune malice,
Pas besoin d'artifices.
Ce qui la rend belle,
C'est cette étincelle.
L'amitié restera sacrée,
Et ne pourra s'acheter.
Ce mot est unique,
Tout en étant magique...
J'ai trouvé ce poème sur "le club doctissimo" silverfranck
Vous qui passé par ici , ce poème est pour vous.
Pour vous remercier de votre amitié
Pour tous vos gentils commentaires.
Je suis heureuse de faire partit de votre vie
Même si elle n'est que virtuelle.....!
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Bonjour à toutes, un nouveau lundi déjà! je trouve que le temps passe vite...
Depuis ma fenêtre : je vois la glycine encore fleurie à cette époque ! mon rosier fleuri et le ciel bleu.
Je pense : à mon mari qui demain retourne à la clinique poursuivre son protocole ,1 mois tout les trois mois, faire des infiltrations. Un peitit coup au moral !
Dans la cuisine : il ne se passe rien, un peu de vaisselle qui réclame d'être lavée !
Je suis en train de créer : mon ABC que j'ai bien avancé , ça y est je suis dedans !
Ce que je lis : des BD fantasy
Je vais faire : me préparer pour aller à Dreux à l'Unité Anti Douleur , pour faire une relaxation thérapeutique . Nous sommes trois à participer.
J'entends : le bruit de mon ordi et de la télé dans le salon.
Je porte : un jean, tee shirt et un léger blouson polaire , oui ! je suis frileuse.
J'espère : que Valérian va vite guérir de son otite et que papa et maman vont également se remettre! et j'espère que Maëva va passer au travers de tous ces microbes...
Autour de la maison : aucun bruit , le calme parfait.
Mes projets de la semaines : Continuer mon abc, et avancé sur mon pur-sang ! j'ai fais quelques points hier.
Une chose que j'aime faire : comme la maison des enfants est un peu out ! je suis contente que Maëva est fait une bonne rentrée dans sa nouvelle école. Même pas pleurée !! Alors une autre chose que j'aime partager.....
Une petite citation:
Le temps passé avec un chat n'est jamais perdu.
Colette
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PETITS METIERS
Petits métiers
0utils charmants :
Ciseaux d'argent,
Aiguille et dé.
Les doigts, les coudes
Comme enchantés;
Un monde à coudre
Au fil de fée !
Petits métiers
Où vont jasant
Aiguille et dé
Ciseaux d'argent.
Fleurs à broder,
Etoiles frêles,
Oiseaux dorés,
Coeurs de dentelles.
Petits métiers
Aux noms si francs,
Ciseaux d'argent
Aiguille et dé.
Ah ! que de rêves
Exquisement
Piqués en blanc
Au chant des lèvres !
Doux bleu nattier,
Soie de Nemours,
Petits métiers
Au point d'amour.
Maurice Carême
j'espère que vous aimerez ce poème , autant que je l'ai aimé.
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J'ai eu des soucis avec O.B. , ils étaient en maintenance !!
Pour ce soir je vous contes une histoire de nos chats si extraordinaire !
Les Chats
On s'était si souvent demandé, et depuis longtemps, à quoi les chats pouvaient bien penser.
Tapis au plus profond de leur solitude, enroulés autour de leur chaleur, comme rejetés dans une autre dimension, distants, méprisants, ils avaient l'air de penser, certes.
Mais à quoi ?
Les hommes ne l'apprirent qu'assez tard. Au XXIe siècle seulement.
Au début de ce siècle, en effet, on constata avec quelque étonnement que plus aucun chat ne miaulait. Les chats s'étaient tus. On n'en fit pas un drame. En fin de compte, les chats n'avaient jamais été tellement bavards : sans doute ne trouvaient-ils vraiment plus rien à dire à présent.
Puis, plus tard, on releva un autre fait.
Plus singulier celui-là beaucoup plus singulier : les chats ne mouraient plus.
Quelques-uns mouraient évidemment par accident, écrasés par un véhicule, le plus souvent; ou emportés en bas âge par quelque maladie purement pernicieuse. Mais les autres évitaient la mort, lui échappaient, comme si cette fatale échéance n'avait plus existé pour eux.
Cette énigme, personne ne la perça jamais.
Leur secret était simple, pourtant. Les chats depuis qu'ils vivaient sur terre, n'étaient jamais sortis de leur indolence native pour accomplir, comme les hommes, mille petits tours savants. Ils avaient toujours laissé les hommes s'occuper de leur sort, leur procurer la nourriture, le confort et la chaleur artificielle. Eux, libérés de tout, avaient toujours vécu dans une sorte d'hibernation idéale, bien dosée, parfaitement mise au point, ne songeant qu'à mieux se concentrer, douillettement lovés dans leur bien-être.
Les chats avaient eu beaucoup de temps pour penser. Ils avaient beaucoup pensé. Mais alors que les hommes pensaient à tort et à travers, au superflu de préférence, les chats, eux, n'avaient pensé qu'à l'essentiel, sans cesse, sans se laisser distraire. Ils n'avaient médité, inlassablement, au cours des siècles, qu'un seul problème.
Et à force d'y penser, ils l'avaient résolu.
Jacques Sternberg, publié en 1974 dans Contes glacés,
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