Katleen West
Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, - heureux comme avec une femme.
Arthur Rimbaud, Poésies
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Le Chat de Tolkien
 D'après un poème original et dessin de Tolkien Texte français adapté librement par Dadcool |
Aujourd'hui n'est pas un temps à mettre une chatte dehors. La pluie elle n'aime pas trop!
se lover sur son coussin toute la journée , fait partie de son emploi du temps préferé.
Un oeil elle entrouvera , quand son ventre grondera.
elle s'étirera de tout son long et dignement approchera pour se restaurer.
Puis retournera sur son coussin pour se reposer.
Normal , dirait-elle ! j'ai tout de même 23 ans !
Vinvella
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Je voulais faire un article pour vous remercier plus tôt . Mais hélas depuis dimanche je ne suis pas bien, oui vous avez bien lu hèlas!
J'ai cru à
une gastro, mais cela n'a duré qu'un jour , le seul jour qu'il ne fallait pas, et oui la vie nous réserve bien des surprises. Depuis j'ai des frissons , j'ai mal un peu partout.... J'ai rdv chez
le médecin demain matin. je n'ai jamais ressenti ces sympthomes, alors.!.... Oui je suis une angoissée! mais cela n'est pas nouveau
mon cactus en fleur que je surveille tous les jours
Voici un joli poème sur l'amitié
Lorsque l’amitié a les parfums du printemps,
Elle est à elle seule la promesse de l’espoir.
Qu’elle soit nouvelle ou bien enracinée
Il faut savoir la soigner afin de la protéger.
Qu’elle soit de fraîche semence ou vivaces
Ce sont nos petites attentions qui la feront grandir.
Elle a la senteur du muguet qui porte chance,
La couleur joyeuse et ensoleillée du narcisse,
La diversité si enrichissante des pensées,
La résistance du myosotis qui pousse parmi les rocailles,
La fraîcheur et la modestie d’une pervenche,
Le doux parfum de l’églantier, aux fleurs souvent éphémères,
Comme la primevère, l’amitié préfère l’intimité des coins d’ombre.
Mais surtout… dans votre jardin privé évitez les mauvaises herbes!
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Je voulais faire un article pour vous remercier plus tôt . Mais hélas depuis dimanche je ne suis pas bien, oui vous avez bien lu hèlas!
J'ai cru à
une gastro, mais cela n'a duré qu'un jour , le seul jour qu'il ne fallait pas, et oui la vie nous réserve bien des surprises. Depuis j'ai des frissons , j'ai mal un peu partout.... J'ai rdv chez
le médecin demain matin. je n'ai jamais ressenti ces sympthomes, alors.!.... Oui je suis une angoissée! mais cela n'est pas nouveau
mon cactus en fleur que je surveille tous les jours
Voici un joli poème sur l'amitié
Lorsque l’amitié a les parfums du printemps,
Elle est à elle seule la promesse de l’espoir.
Qu’elle soit nouvelle ou bien enracinée
Il faut savoir la soigner afin de la protéger.
Qu’elle soit de fraîche semence ou vivaces
Ce sont nos petites attentions qui la feront grandir.
Elle a la senteur du muguet qui porte chance,
La couleur joyeuse et ensoleillée du narcisse,
La diversité si enrichissante des pensées,
La résistance du myosotis qui pousse parmi les rocailles,
La fraîcheur et la modestie d’une pervenche,
Le doux parfum de l’églantier, aux fleurs souvent éphémères,
Comme la primevère, l’amitié préfère l’intimité des coins d’ombre.
Mais surtout… dans votre jardin privé évitez les mauvaises herbes!
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Bonjour ! voici quelques fleurs de mon jardin , pour accompagner cette poésie.
J'espère que vous l'aimerez !
Boule de neige
Potentille
N’attendez pas de moi que je vais vous donner
Des raisons contre Dieu que je vois rayonner ;
La nuit meurt, l’hiver fuit ; maintenant la lumière,
Dans les champs, dans les bois, est partout la première.
Je suis par le printemps vaguement attendri.
Avril est un enfant, frêle, charmant, fleuri ;
Je sens devant l’enfance et devant le zéphyre
Je ne sais quel besoin de pleurer et de rire ;
Mai complète ma joie et s’ajoute à mes pleurs.
Jeanne, George, accourez, puisque voilà des fleurs.
Accourez, la forêt chante, l’azur se dore,
Vous n’avez pas le droit d’être absents de l’aurore.
Je suis un vieux songeur et j’ai besoin de vous,
Venez, je veux aimer, être juste, être doux,
Croire, remercier confusément les choses,
Vivre sans reprocher les épines aux roses,
Être enfin un bonhomme acceptant le bon Dieu.
Ô printemps ! bois sacrés ! ciel profondément bleu !
On sent un souffle d’air vivant qui vous pénètre,
Et l’ouverture au loin d’une blanche fenêtre ;
On mêle sa pensée au clair-obscur des eaux ;
On a le doux bonheur d’être avec les oiseaux
Et de voir, sous l’abri des branches printanières,
Ces messieurs faire avec ces dames des manières.
26 juin 1878
Victor Hugo
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