• Jeu pour l'inauguration de la nouvelle Boutique en ligne
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  • PEROU le chemin des Incas

    PEROU le chemin des Incas

     

     

    Autrefois, le Machu Picchu était rattaché à la ville de Cusco et le reste de l'empire inca par des pistes de conception excellente et en harmonie stricte et parfaite avec l'environnement naturel. Le chemin des incas est entouré de paysages stupéfiants et étonnants qui traverse la cordillère des Andes et une partie de la forêt tropicale d'Amazonie. La randonnée passe par plusieurs ruines Incas très bien conservées avant d’arriver à la « Porte du Soleil » lieu depuis lequel on apprécie la splendeur du Machu Picchu

     

     

     

    Chemin Inca

      

    Le Chemin Inca est l'éxcursion la plus populaire du Pérou, combinant les visites de ruines incas, de paysages montagneux, de forets aux nuages lumineux ainsi que le passage par sa magnifique jungle subtropicale. 

    Plus de 250 espèces d´orchidées ont été comptabilisés dans le sanctuaire historique du Machu Picchu, ainsi que de nombreuses espèces d´oiseaux comme le colibris, le gibier d´eau ou encore le majestueux Condor andin. La “star” du sanctuaire est sans aucun doute le fameux “Ours Andin” – un timide ours herbivore qui est extrèmement rare et en voie d´ extinction.

    Le Chemin Inca est l´ascencion d´une jungle montagneuse qui mène a la ville sacrée de Machu Picchu. Les 45km de randonnée se font généralement en 4 jours, l´arrivée au Machu Picchu aux environs de midi, et le retour à Cusco en train, en fin d´aprés-midi.

     

     

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  • Coucou les copinautes,

    Ouf ça y est, j'ai de nouveau, un branchement INTERNET !

     

    C'est décidé, je change tout !

     

    J'ai changé d'hébergeur, je change de blog, je change de mari (non non, je plaisante !!!)

     

    Si vous voulez me suivre, c'est là :

    http://vinvella.eklablog.com/

    Venez vite vous inscrire, vous me manquez tant, mes chères copinautes !

     

    à bientôt pour retrouver mes poésies, mes broderies et surtout, ma rubrique UFO qui continue....

    http://ekladata.com/0yDp7fBbLBKwbs37QQ3CybTwukY@250x170.jpg

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  • Coucou les copinautes !

     

    J'ai changé d'hébergeur !

    Free a été plus rapide que l'éclair et je n'ai, déjà, plus de connection INTERNET !

     

    Orange sera mon prochain hébergeur !

    Orange m'a promis que le changement sera fait d'ici quelques jours !

     

    Alors ne vous inquiétez pas, lorsque j'aurais récupéré ma connexion, je mettrais à jour les UFO et mes articles habituels !

     

    à bientôt !

    Vous me manquez déjà !

    http://petitemimine.p.e.pic.centerblog.net/6b1c4183.gif

    PS ce message vous est envoyé, gentiment, par VOLSUL vu que j'ai plus internet !

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      fleurs-20de-20tonnerre.jpg

     

     

     

     J'ai envie de  vous parler d'un livre .

    l'auteur est JEAN TEULE et le titre de ce livre: "Fleur de Tonnerre"

    Cette hisoire se passe en Bretagne au 19ème siècle .Jean Teulé retrace l'histoire véridique d'une tueuse ... Il y a même un gâteau à son nom. Jean Teulé était en dédicace à St Malo lorsqu'un monsieur lui apporte un gâteau: " c'est le gâteau de Hélène Jégado, l'empoisonneuse."

    Sur celui-ci, sur une bande en pâte d'amande était écrit  "garanti sans arsenic !".

     

      C'est sa mère qui lui avait donné ce nom " Fleur de tonnerre "!.

     

     Née en 1803, la jeune Hélène, enfant choyée élevée dans une petite ferme d'une famille de cultivateurs pauvres, est nourrie des légendes de la Basse-Bretagne. Elle est notamment traumatisée par le personnage de l'Ankou, dont elle va devenir l'incarnation pour surmonter ses angoisses[2]. En 1810, après la mort de sa mère – il s'agirait, selon le romancier Jean Teulé, de sa première victime, qu'elle aurait empoisonnée avec des graines de belladone versées dans sa soupe –, elle est envoyée chez une tante qui travaille comme domestique dans un presbytère de Bubry, et devient elle-même domestique. Par la suite, dans différentes villes – Séglien, Auray, Bubry, Hennebont, Locminé, Lorient, Pontivy et, enfin, en 1849, Rennes[2] –, elle sera notamment cuisinière, un emploi idéal pour empoisonner à l'arsenic les plats de ses victimes : clients d'un bordel militaire de Port-Louis, où elle se prostitue, maîtresses de maison, curés, bonnes sœurs, jusqu'à des enfants. Sa carrière criminelle s'arrêtera à Rennes, après les meurtres de deux gouvernantes successives et d'une servante de son employeur, l'avocat, professeur de droit et expert en affaires criminelles Théophile Bidard de la Noë, lequel, soupçonneux, se décide finalement à enquêter sur son parcours[3].

     

     

                                     Croquis fait lors de son procès à Rennes 

     

    D'après Jean Teulé, qui la considère  comme la plus grande[4] tueuse en série du monde[3], son habitude de conserver des fétiches de chacun d'entre eux permet aujourd'hui d'estimer qu'elle a tué environ soixante personnes, y compris des enfants, notamment la petite Marie Bréger au château de Soye (Plœmeur) en mai 1841, dix ans et un mois avant son arrestation, ainsi que deux tantes et son père[3]. 

      

     

     

      *« La Jégado » est le sujet d'une feuille volante en français (Complainte d'Épinal) et d'une complainte en langue bretonne de Jafferedo imprimé à Hennebont (1900).

     Elle devient une espèce de croque-mitaine, personnage maléfique auquel on faisait appel pour forcer les enfants à boire leur soupe, les menaçant de l'appeler s'ils ne la mangeaient pas[6]." l'histoire se répète"

      *Un épisode de la série En votre âme et conscience est consacré au cas d'Hélène Jégado en janvier 1967.

      *En 2006, le réalisateur français Pierre Mathiote met en scène, pour France 3, un docufiction intitulé La Jégado, avec Taïra Borée dans le rôle-titre.

      *Le Musée de Bretagne de Rennes contient le masque mortuaire d'Hélène Jégado dont on avait recherché la « bosse du crime » lors de l'autopsie par la Faculté de médecine [7].

      *En Bretagne aujourd'hui, plusieurs pâtisseries proposent à leurs clients des « gâteaux d'Hélène Jégado », recette identique (angélique pour masquer la couleur verte que prenait le gâteau arsénié à la cuisson, amandes pour masquer le goût amer de l'arsenic) mais garantie sans arsenic[3]! La recette a été signalée sous le nom de Gateau breton d'Hélène Jégado par Simone Morand dans son livre Gastronomie bretonne d'hier et d'aujourd'hui en 1965. 

     

     

    J'espère  ne pas en avoir trop dit, et surtout pas assez pour vous donner envie de lire cette histoire.

    Peut-être l'avez-vous déjà lu: que pensez-vous de ce livre ?

    Cela fait longtemps que je n'ai écrit un documentaire et jamais un livre!.

     Vous pourrez me donner votre avis....

     

     

     

    --demain.jpg

     

     

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